Je t'ai rencontrée un jour d'été au hasard Crois-moi, crois-moi, je n'avais aucune idée Que tu avais le cran, le pouvoir De toucher et serrer mon cœur assoiffé Jusqu'à ce qu'il soit temps de partir De s’enfuir en espérant rencontrer Ton doux sourire et ton fou rire Une autre fois dans l’avenir.
Nous avons échangé nos numéros innocemment Pour brocanter des vœux, nous contacter Et dire bonjour à des jours différents Puis nous sommes partis et nous nous sommes précipités Pour rentrer à la maison. Étrangement J'ai ressenti le besoin de t'appeler Et tu as répondu gentiment Comme une dame devrait le faire. Et c'était super.
Oh! Chère! Ce fut un immense plaisir De te reconnaître. Mais mon cœur battait C'était l'amour à la vue ! C'était le tonnerre Je ne pouvais pas y croire. C'était le printemps C'était trop tôt pour tomber amoureux de ton sourire Oui, oui, j'ai adoré ta pause, ton style insolite Cela faisait longtemps que je me sentais si bien Tellement heureux. Oh! C'était une humeur merveilleuse.
Nous nous sommes envoyés des SMS, mais tes réponses étaient courtes Tes ripostes toujours très courtes : « Salut, bonjour, au revoir et merci » Je voulais que tu en dises plus. Je te voulais, je voulais Que tu t'exprimais, comme si tu n'étais pas dans un aéroport Oh! C'était la genèse d'un fantasme, d’une fantaisie Quelque chose d'inhabituel coulait dans mon corps Je me sentais en difficulté, espérant que tu me rachèterais Et rêvant que tu sauverais mon cœur à l'agonie.
Oh! Ce fut une expérience douce-amère Parce que je réfléchissais trop et j'exagérais Oh! C'était l'amour de chiot, je me hâtais Pour défier littéralement: gravité, science et grammaire Oh! Je suis blessé parce que tu es partie sans le dire Sans dire au revoir. Je suppose que c'était un caprice douloureux Tu t’es échappée, tu as disparu comme les coups d’éclair D’une journée d'été, quand le temps était fuligineux et orageux.