La sémiotique n’a pas vraiment d’accent C’est le bruissement du vent et du temps C’est le lyrisme dans le cœur de maintes femmes Et c’est la musicalité au tréfonds de l‘âme.
Je n’ai pas de langues spécifiques pour m’extérioriser Quand je te vois, mon amour. C’est l’extrême rapidité Du sang qui se déverse dans mes artères et mes veines Harmonieusement et tendrement avec une douce peine.
Mon âme est un paysan ordinaire et un polyglotte étranger Qui s’expriment avec les yeux cloîtrés et la bouche fermée Les émotions et la passion du cœur ensorcelé et enivré.
C’est le corps qui se trémousse naturellement Sans faire de grands efforts et mouvements Ce sont les frémissements de l’âme enflammée.