L’homme vit, rit, pleure, marche, passe, trépasse, Et meurt hâtivement comme une belle autre saison. Bientôt, il n’y aura plus d’enfants dans la maison; Ils partiront cahin-caha vers une autre impasse.
Les bourgeons printaniers des innocents lilas, Les petites grenouilles nageant dans le profond lac, Les chants des coqs perchés sur les faibles branches, Bientôt, on aura le verglas noir et la neige blanche.
Les saisons passent et l’homme vit et trépasse, Comme le vieillard accroupi dans les rues lasses; Il est mort, assassiné par les épées de Dracula.
Les pauvres enfants pleurent par pitié ou par amour. Ils oublient que demain viendra leurs malheureux tours, Ils n’ont qu’à jeter un coup d’œil,sur ce qui se passe Ici-bas.