Il ne peut y avoir d’identité que celle humaine. Chacun d’entre nous n’en a aucune, Elles s’ajoutent et se conjuguent, Pour former ensemble une onde sereine.
Respecte en premier lieu le pays choisi, Sans imposer tes vues, ni tes coutumes, Il en va ici de la démocratie, Celle qui nous offre une loi commune.
De toutes les vertus, j’aime la tolérance. Elle se conçoit sans doute dans les deux sens, Mais ne permet dès lors aucune outrance.
Je veux te connaître mais cela ne peut point, Si derrière ce voile tu caches ton destin, Et mets entre nous un si funeste dessein.