Souviens-toi, Je me souviens te dirai-je Avec un ton bas sans inférieur, Sans les moindres choses qu'on écarte Dépourvu d'absence d'enfant à cette fin.
Souviens-toi Je me souviens, songerai-je Dans cette nuit profonde sans bonheur, Or le corps sera juste déposé Dépourvu de tout mouvement en un mort Et le réglementaire sera en cour travail.
Souviens-toi, Je me souviens, penserai-je Dans l'exécution de mes douleurs malheureuses Qui feront par métaphore refuge aux pensées, Car le cœur, vulnérable toujours Souffrira comme s'il fut créer à part.
Souviens-toi, Je me souviens, te dirai-je Dans le souci de s'établir en définitive Ou mes malheurs qui feront mille ans Et dépourvus de tout opposant ; Tout sera donc fini pour moi.