Vos
poèmes

Ce soir auprès du feu
Je songeais à cette chère décédée
En se demandant ce qu'elle fut devenue
Dans ce monde sans support ni aide.

Parcourant ce jour le long de sa mort
D'un chemin plein d'épines
Qui contribuant à son départ
D'une perte noyée dans la saisine.

On ne l'avait rien reproché,
Elle vivait loin d'une vie farouche,
Ayant toujours ses caractères curieux
Elle ne me lassait jamais d'esprit aventureux.

Elle séjournait en riant
On dirait une poupée souriant,
En se fâchant, ce n'était qu'en rugissant ;
Mère immortelle, la mère d'avant.

Maman, la gentille,
L'aimée avec tendresse,
Maman, ma principale,
Ta conscience fut ma sagesse.

C'est tout, et rien à faire encor
Tu as fait une orpheline est la seule
Chose à te reprocher mais en or,
En regret d'un aussi pareil péril.

Ah, l'unique bonne mère,
Grosse, grasse de cette ère
Cette pauvresse hère !
Dans ce sans retour, elle mon alma mater.

Aimer c'est souffrir,
J'ai compris et soupir,
Un retard prétend à perdre
Car menant mon humanité en enfer.