À bientôt un mois, Il me reste cette douleur, Un poids sur le coeur, Cette envie de pleurer à chaque fois, Ce vide impressionnant, Me renvoie ces instants, Ces souvenirs aux confins de mon esprit, Pareil aux contes de mille et une nuit, Tel un ange tu veillais sur nos destins, Guidée par ce maternel instinct, Tu as feint l'ignorance, De paroles acerbes et rances, Le pardon étant le seul mot de ta bouche sortant, Qu'il fallait vivre tout simplement, Vivre de paix et non de haine, Voilà le seul héritage que je revendique et souhaite partage Merci pour tout.