Dans le train les regards dans le vide se perdent, Certains partent pour un voyage au pays de Morphée, Vu les valises sous leurs yeux portées, D'autres fuient le quotidien transport, Écrasant des friandises coquin de sort, J'en vois écouteur à l'oreille pupille vide, Au rythme de cette orchestre en leur main réside, Un cercle d'habitué sur leur siège réservé, Conte leur activité chaque jour renouvelée, Profitant d'un siège vacant, Ainsi va la vie en ce matin, Dans les transports urbains.