Il fait presque nuit et la beauté se lit; Aux mystères de la vie Cachés derrière la pluie L’âme se replie et affirme l’ennui.
La musique s’éloigne Plus rien ne me dédouane.
Le doux murmure de l’oiseau s’envole La nuit se rapproche, froide, avec l’aide d’Eole Et toutes les mœurs jugées bien trop frivole S’enterrent malgré elles bien loin au sein du sol…
Est bien triste cette utopie, Où il nous faut vivre tapis Les sources du savoir qui sont pour nous taries Rongés depuis longtemps d’une funeste maladie…