Été nocturne aux douceurs engourdies Sur les vitres luxuriantes avec l’oeil du profond Dans l’extase du trépas, plonge dans les fonds Où les temps sont au sud quand le nord est midi
Vols et soufflets vers les vents qui s’ouvrent Comme une fleur dans un champs Comme un baiser sur la brise
Fous écoliers sur les sentiers d’antan Foudre dans l’abysse et le grand saut vers l’adieu Feux affolés ; soubresauts sous les dieux
Été de miel ; été d’étoiles Las des prisons solitaires Moins de plafonds - plus de lumière Été futile à peindre toile