Pareillement c'est à toi que je m'adresse, Ô toi, sublime et fascinante maîtresse :
À présent que je peux tout aborder, De toi j'aimerais connaître les anxiétés, Les heurs et malheurs, Ta face cachée, ta peur, Ton esprit, ta conscience et nos âmes, Tes émotions, ta vivacité ; avant que sous la lame, Tu ne doives être et rejoindre Osiris Au royaume des cieux.
Jamais je n'oublierai tes yeux, Pour toujours le souvenir dans mon esprit de ton iris.