En un précieux atelier le larbin des livres Façonne et fascine d'une belle facture fine : Fruit sincère de ses passions quasi sanguines ; De ce noble et profane engouement il veut vivre.
Cuir tanné et peau broutée étaient ses manies, De par l'action d'un instrument divin par lui Seul maîtrisé, car en son simple cœur il luit Sur le trône passionné de la tyrannie.
Il lisse les pages jaunies, semblant aux crins, Dore la tranche abîmée; brave s'élevant La lueur de sa bougie en sa sainte main.
Myriade d'étages: les compter ? Il y en a tant ! Alors, admirant son œuvre, il va l'ajouter À sa collection d'Aphrodite de papier.