Tu es descendu de ta montagne providentielle La Nation avait besoin de toi, Tu partais avec la bénédiction du Ciel Une grande confiance vissée en toi.
Toute la nation s’est levée, masse gigantesque Mais que dire des forces en présence ? Chassé l’ennemi, vaincre sa résistance N’est-ce pas une œuvre titanesque ?
Parler ensuite de cet attachement viscéral à la terre Cette terre nourricière chère à cette nation Défendre chaque pouce, chaque position Pour qu’à la fin nous soit rendue Notre Terre.
Cette fois, c’est juré, ils ne passeront pas Mais la mort rode à chaque pas Car la pluie est composée de fer et de feu Car le brouillard laisse les poumons en feu
Enfin, après quatre ans en enfer Retrouver son pays, changer d’air Es-tu le même homme, alors que sonne le clairon ? Tout taire, ou bien nous mentirons …