Au son du téléphone, je n’entends plus que les ondes.
J’écouterai bien celui de l’amour, où les perles viendraient Dans mon l’oreille. Je voudrai tout ; des hurlements, des musiques douces, plus Je lirai tout pour l’oublier. Je donnerai tout ce que j’ai. Je lève mon verre à la solitude, il me manque le chromosome