Ris encor’ pauvre cœur, ta ferveur amputée Glisse dans les grands flots aux hasards de l’ennui. N’assigne que le vent. Ta plaie est ta nuitée, Et ce rêve pénible est ton espoir enfoui. Tu as pour seul été, les joncs de son baiser Et tu jouis encor’, du mal qui te gouverne, Aimant même les maux de cet amour bûcher, Ton envie chagrinée est ton chagrin moderne.