Petit poème pour les enfants défavorisés Qui ne meurent pas de manque d'affection Mais des privations alimentaires élémentaires.
LES RAPACES QUI NOUS PRIVENT
Devant les rats passent Les pois sont sêchés Sans flammes tandis Que les merles en friandise Laissent lêcher Les flammes des langues Affamées des enfants Nés pas laids S'incruster de jalousie!
Vendredi 21 mars, Quelque part Dans le temps Qui nous est faste, Puis nous efface…