La nuit venue, mes larmes coulaient Pour une raison étrange ; Là, dans la brume, les fées dansaient Une mélodie que j'entendais À peine dans mes songes
Une mélodie si douce que l'ombre En frissonnait un peu ; Elle se perdait dans la pénombre Devenant floue, timide et sombre Comme, en mourant, le feu
Celle de, et celui dans, mon coeur ; Et les lueurs dansantes Comme l'envoûtant parfum des fleurs Qui fait frémir de telles lueurs Semblaient vivantes