Pour, quand nos rêves fondent en larmes, Ne rien avoir à regretter, N'avoir manqué rien de ton charme, Avoir senti, frôlé, tressé l'envie Nue, comme une forme de toile Aux courbes cambrées, ancrée en toi et moi — Et le désir, une éternelle voile ; Et l'innocence, un gémissement de joie