Heureux pillards qui dans les rangs européens domestiques ne voient en l’Hellade que les ressources économiques et dans les musées, les objets de travail des marbriers les maintes statues en bronze à revendre aux fripiers. Dévorés d’une soif de l’or que rien ne sèvre, ces banquiers n’apprécient que tout ce qui brille en orfèvre. Et si par hasard l’Hellade à leurs désirs s’offrirait, ils ne l’usurperaient pas, sûrement ils la dévoreraient!…