Ô, scélérats infâmes, vous que la rage consume, ongle pour ongle, œil pour œil, dent pour dent. Jusqu’à ce que tout votre arsenal s’épuise, contemplez donc toutes vos atrocités d’antan !
Ne voyez-vous pas venir l’horrible déchéance où maintes douleurs viendront troubler l’existence ? Une victoire gagnée est aussi bien que perdue même si vous vous sentez fort et encore invaincus !
Vous qui marchez farouchement intouchées vers un triste espace et un énorme gouffre, vos traces terrifiantes font terriblement peur et menacent un monde effrayé qui souffre !
Chaque pas de votre splendide immensité grouille en ferment orageux et trébuche dans des lugubres profondeurs qui dévoilent toutes oppressions et crimes d'embûche.
Maintenant que les jours de paix sont envolés et que les guerres sont autodestructrices, les invaincues n’auront pas le choix de s’échapper et finiront d’une mort fatale et moralisatrice.