Ce n’est pas plus la force de la pensée mais seulement une imitation du réel. L’essentiel m’échappe et il m’échappera toujours. A vrai dire l’absolu n’est pas de mon ressort et de mon ambition. Et je m’arrête là, modelé par mon entourage matériel sans beaucoup d’orgueil devant l’Inconnaissable qui me déforme et me transforme dans l’étroit passage d’un va-et-vient accidentel.