Je pose ma harpe sur une branche de saule, Coupable ou innocent en haussant mes épaules. Puis j’excite Satan et Dieu à se mordre Et je jouis mon orgueil au milieu du désordre. Ma place est étrange mais le dénouement sage, Voir Dieu et Satan s’égorger dans une cage. Pour le chant des peuples qui reculent et se resserrent Cette lutte d’hommage ne fait que plaire…