Sur la neige un sourire néant et trop peu de silence. Comme est pur le blanc ancestral souverain pour toujours. Ecoute! Ici, la brise tremble sur l’herbe si tranquille dans l’hiver. Là-bas une poussière incertaine excite les espaces chrysanthèmes fanés. Ailleurs, la mémoire prisonnière des racines creuse le reste de l’exode. J’ai déjà déposé ma solitude sur les blanches pierres des morts. Pacifié dans les murmures des souvenirs, je descends pour respirer le vide. Regarde! Comme est pur sur l’herbe le blanc entre lune et mer et entre Ciel Jérusalem et prière !