S’éparpillant au gré du vent La robe et ses multiples volants Se créent une vie, certes éphémère Mais pourtant tellement sincère. Si illuminée, si belle, Resplendissante sous son ombrelle Par Zéphyr se laisse emporter Qui tel un enfant, souhaite jouer Dans les plis de son châle Dont il fait des bras innombrable. La jeune fille parmi les blés Avec insouciance aime se promener Dans ce champ isolé Où il fait bon de rêver.
Inspiré du tableau de Monet, Femme à l’ombrelle tournée vers