Qui aurait pu l’imaginer ? Quelques regards, quelques vers, quelques sourires, Une complicité naissante, une envie de se découvrir, Jusqu’à ce jour où nos bouches passionnément s’unirent.
Qui aurait pu le présager ? Alors que nous envisagions une unique nuit à partager, En coulisses les flèches de Cupidon nous avaient transpercés, En plein cœur… bingo ; les sentiments d’amour véritable avaient germé.
Pourquoi demander pardon ? Si les circonstances prônent pour la raison, Nos cœurs libérés cassent jusqu’aux derniers maillons, Afin de vivre l’amour que l’un pour l’autre nous éprouvons.
Et maintenant, que faisons-nous ? Je sais bien, tu me trouves complètement fou, Et pourtant, j’en suis certain, je veux aller jusqu’au bout, Vivre avec toi, toujours, et ce poème est mon va-tout.
Que puis-je t’offrir ? Rien, tout, mon cœur, ma raison, mon dernier soupir, Afin que chaque jour le bonheur continue à nous unir. … Mon amour, un seul mot de toi … Pour que tout le reste de nos vies, nos deux corps à l’unisson respirent et transpirent.
Pourquoi ? Pourquoi prononcerais-tu ce mot ? A vrai dire, il n’y a qu’une seule raison qui peut t’y pousser, La même raison que celle qui t’a amenée à me dire « je t’aime ». … Elle s’appelle peut-être « évidence » … Plus sûrement cette raison est cachée au plus profond de ton cœur.