Vous avez déserté le jardin de l’enfance, Votre vie est ailleurs, loin de moi, loin d’ici ; Pourtant je pense à vous, toujours, en permanence, Je tremble à chaque instant de crainte ou de souci.
Je vous protège encore et malgré les distances, Je vous couvre en secret d’attentions, de douceur, De tendresse et de soin, d’amour et de confiance, Je prie pour vos succès et pour votre bonheur.
Quelques fois, je l’avoue, mon cœur souffre en silence, Devant la chambre vide imbue de souvenirs… Il ne regrette rien… il pleure votre absence Et l’envie qu’il aurait de vous voir revenir.