Encore un fois, je suis écartelée Entre la lumière et l’obscurité La force sombre encore renaît Un combat, je vais devoir mener
Ces affreux doutes, je dois chasser Sans pitié, les balayer, les tuer Que ma vilaine peine enfin niée Me rende ma douce sérénité.
Je me sens de nouveau esseulée Face à de folles éventualités Qui n’ont paroles de vérité Que dans mon esprit étriqué.
Hideuse maladie, triste fatalité Qui l’a, dans ma vie, amenée Que j’envie une certaine futilité Qui permet de fuir les nébulosités.
Cependant, comment puis je oublier ? Que le bonheur, à coup sur, je connais Puisqu’après tout à l’amour et l’amitié J’ai avec honneur donné l’hospitalité.
Alors les nuages, je dois enfin chasser Ne plus regarder que les bons côtés En mai, je dois faire ce qu’il me plait C’est décidé, j’offre, à ma vie, la paix.