La vie est parfois emplie De soucis et d’ennuis Il est un temps où l’on fuit Pour oublier la pluie.
Ne laissons pas quelques nuages sombres Déposer sur nos vies de vilaines ombres Ne restons pas à contempler les décombres Qui empruntent l’affreux chemin en nombre
Il faut, des évènements, changer, l’éclairage Afin que du ciel, disparaissent les nuages Les gris deviennent couleur d’herbage Le soleil occupe avec brio tous les parages.
La vie est en mouvement perpétuel Il suffit d’un rien pour qu’on la voit belle Un ciel empli d’étoiles qui étincellent Le regard amoureux de sa belle.
Après tout, une once de printemps Au milieu des agacements ambiants Ne peut nuire l’espace d’un moment Puisque après la pluie vient le beau temps.