Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur acre de deux corps qui s’enjôlent Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur de deux cœurs dans leur geôle
Certains prétendent avoir percé le mystère Hormones et phéromones prolifèrent L’insipide chimie, soudain, les dilapide Alors que les cœurs deviennent intrépides
Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur acre de deux corps qui s’enjôlent Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur de deux cœurs dans leur geôle
L’éveil des sens semble inéluctable Les hormones se mettent à table Dévorent sans vergogne un cœur battant Qui se rend dans un soupir vibrant
Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur acre de deux corps qui s’enjôlent Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur de deux cœurs dans leur geôle
Alors que L’un se meurt, l’autre se rend Qu’il est beau le divin cri des amants Les corps se lâchent, les cœurs s’attachent Et de doux « je t’aime » l’air tendrement s’entache
Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur acre de deux corps qui s’enjôlent Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur de deux cœurs dans leur geôle
Alors qu’ils ne furent qu’un, les corps se séparent Les mains se mutinent et se tiennent à toujours Alors que les esprits s’habillent de souvenirs épars Les cœurs s’émeuvent et se montrent au grand jour
Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur acre de deux corps qui s’enjôlent Quelle est douce l’odeur de l’étreinte Odeur de deux cœurs dans leur geôle