O toi homme hanté par tant de craintes O toi qui mis tant de temps à te livrer Quelle joie de te sentir par ma seule étreinte Dans mes bras enfin délivré, abandonné
O toi que tant de démons ont visité O toi qui essaie de tout contrôler Quelle joie de te sentir offert, relâché Par mes caresses enfin libéré
O toi qui a si peur de dire je t’aime O toi qui craint tant la dépendance Quelle joie de te voir perdu et blême Submergé de sensations en abondance
O toi qui ne se veut surtout pas harponné O toi qui plus que tout hait la routine Quelle joie de te sentir encore étonné Après des mois à écrire notre comptine.