Trop d’agitation Encombre nos vies Tristes émotions Et pauvres envies Je rêve d’une plage A l’image des cieux Loin de toutes nos rages Et de ces jours anxieux Si je le peux encore J’oublierai ce fracas Quand la dernière aurore Sèmera ses éclats De vert argent et d’or Sur la mer en applats J’irai dans la lumière Eblouie, laissant derrière Moi, cette comédie. Dans une vague engloutie Sans plus de bruit.