Je suis benoît. A côté de moi, les gens sont cacochymes, Ils attendent la camarde comme une joie, Un soulagement, sous ses machines coercitives. Ils ne connaissent plus ni l'alacrité ni les hymnes, Ils sont là depuis longtemps. Quand je suis arrivée, vive, Ils étaient déjà là.
Ils sont comme déjà putréfiés, Ils sont tous confondables, acéphales, Ils sont avanies, n'ont plus aucune volonté. Ils sont pourtant arrivés comme moi, acconts, Mais les cloaques, tels des démons, Les ont calmés. Personne n'a été capable de cabales. Depuis, ils sont comme morts. trop martyrisés.
Ils ont vu leur vie défillée, Ils ont prié, rien n'a changé, Ils ont vu des horreurs, sans pouvoir crier. Ils ont vécu des choses comme on n'imagine pas, Ils ont peur de la vie, ils voudraient qu'elle soit fini. Et moi je ne réagi pas. Benoît. Je suis couarde. Je n'ose essayer de leur sauver la vie.