D’une femme poete Que j’aime Je conserve dans ma tete Quelques vers blemes Melangés à mon sang Et ça fait mal tout le temps ...
Son amour Perdu Disparu Pour toujours Me rend aveugle Et m’ensevelit dans un nid d’aigle Loin de la ville Aupres d’un fleuve qui chante ! Ses reves qui me hantent Pour l’instant j’attends Que l’hier s’en sera allé Que le temps M’ouvre une fenetre Pour sortir et renaitre Ailleurs De ce lourd chagrin Qui n’est jamais eteint