Le cœur vert... Je passais les bras ouverts Au grand vent Chaud étreignant Des mirages si lointains. Entre mes doigts Coulaient déjà Les cendres du temps. J’étais une étoile noire Tombée dans de trop grands hasards De sombres hasards... Un baiser m’eut sauvé. Mais pas même un baiser. Un rien... Pas même une enfance, Seulement des restes d’amours effilochés