Refrain : Je me demande pour qui Etait destiné ce charabia Tout le monde in fine.
Quand Ronsard sur ses papyrus Faisait de la toile pour Hélène Je me disais quel foolish Que de faire tout ça, O french.
Et que Mike Brant, << Tout donné, tout repris>> Ait consacré full d’albums à parler de ses amours Me fait tousser sur les Whispers de Elton John Mimant dans ses Blue Avenue, la douce Anita Baker.
Mais moi, dans ce syndrome Je cherche mes repères, tellement Vivre l’amour dans les textes lyriques Est une rêverie plus rêverie que Rêverie.
Tout ça mon amour, tout ça Tout ça mon amour pour toi Tout ce charabia sur la ligne des autres Et j’y ajoute mon encre pour le continuum.
Et oui, c’est le vaste esclavage des forcenés Fiançailles, mariage, rupture, divorce Tout un tralala qui fatigue les esprits Mais dont personne n’a jamais renoncé. Nous aussi, marions-nous Mais évitons le coup des socialistes Dont les ruptures vinrent après coup Au soir des grands plébiscites.