Ô noir quand tu me broie dans l’abîme profond J’ai peur blanche de moi et souvent je me grise. La fleur fane si vite ignorant les saisons Et moi je flâne encore, las de toute maitrises.
Dépité sans un bruit j’observe l’infortune : Une feuille souillée d’encre qui ne créer… Mais note, et froissant l’égo se frotte aux lacunes D’une belle âme frivole insouciante et fascinée.
L’art, les lettres, les langues, voilà là la chanson ; Leste tombé d’un cœur qui bien trop souvent doute De voler vers l’Azur d’un futur horizon.