Cache toi ma peine aborde aux rives du silence , reste et souris... Ma tendre amie cruelle.... patiente et laisse faire... Et si près d’un ciel oublié verse ces larmes qui savent attendre comme un refuge d’étonnements troubles , l’inattendu ... la subtile façon de s’effacer...sans mots... Au creuset d’un lointain si proche , Ô si proche... Otage d’une nuit malade de rêves..." la rue s’ennuie sous un chapeau de pluie ... Chet n’est plus...Blues secoué de néons ... Les errances d’ici s’attardent...A quoi bon ? Sourire triste , survivance morne... Chet n’est plus ...blues secoué de néons... Une aube de flaque ; reflet huileux... Alcool ; désarroi de verticalité ; douce meurtrière... le porche des amours tristes... Chet n’est plus ...blues secoué de néons... Soie sans fin d’entrechats sans âme... lueurs éteintes de regards trop morts... Ce jour s’éteint dans sa lumière... Une note , Juste une ...De ton rêve malheureux... Chet n’est plus ...blues secoué de néons.. Ô Chet n’est plus ...blues secoué de néons...