Un joli grain de sable sous ton front... Un " chat perché "sans fin sur ton museau... les marelles jusqu’au ciel sont un devenir ! le chemin se fait à cloche-pied d’étoiles en petit-prince un peu triste... N’aie crainte , moi aussi je fais semblant ...Il faut bien... Pas un seul instant je ne t’oublie... Tu es si proche...Là ...à portée de coeur... Peut-on se perdre si lointainement près de toi ? Elles règnent en maîtresses ivres ces Aubes aux tendres cruautés... je n’ai plus peur...te savoir dans l’effleurement d’un songe... Le frémissement oublieux d’un geste...