Peut-être n’es-tu qu’éloigné... Ai-je fait le mauvais rêve de ton absence ? Retrouvailles inespérées ? Liesse au delà des mots ! Ta présence ornée d’indicible... A deux pas de caresse le soyeux de toi s’évertue et s’alcove en écrin scéllé d’une geste heureuse... je n’ai pas encore la force de te suivre là où tu es allé... O pourtant chaque mot t’évoquant est une souffrance Car je te revois si proche et insouciant munie de ta seule jeunesse et de ta beauté... Combien ces soirs d’été où tu étais là furent beaux... Je le savais , n’aie crainte , je le savais... Pourquoi faut-il que la mesure de notre amour prenne son envol vers un ciel de larmes ?