Un pas suit l’autre ... Cette idiotie claudicante que l’on veut soi ! Dites-moi quelle est-elle ? Y a-t’il un repos ? Un simple havre où le chagrin se tait ? Un étonnant refuge fait de baisers furtifs , de regards qui ne savent pas jouer l’apparence , de jolis matins , d’aubes joueuses ? Qu’a t’on perdu qui frappe si désespérément à la porte de nos coeurs ? l’innocence si belle dont on à crever le candide regard... Malheureuse épave jouée du ressac d’eaux si mauvaises... Où puis-je te chercher , détruit au bas-fond de cette boue ? Dis-moi ?