Brute hébétée, le besoin t’habite au bord de ton baobaB Assouvis amplement ces instants dans cette sauvage lambadA Respire fort ces arômes qui te narguent au cœur de ton désiR Rejoins rapidement les sentiers odorants en un sourire moque Evite de t’enliser dans le bourbier de ton envie salacE Assez de cette chair fraîche aspirée autrefois et qui t’aga Une deuxième heure s’ouvre, ultime parcours nouveaU
Danse tendrement dans la tiédeur d’un dancing sans farD Espère simplement retrouver l’exotisme dans l’innommable ext
Cachée sur ton cœur, cette inconnue câline tes croyances de Havre chaleureux, tu cherches l’honnêteté en honorant AllaH Avide tu étais, apaisé tu seras, ta partenaire te conjuguerA « Il était une fois une idylle inouïe, inoubliable et empli Souris, tu sais ce silence apaisant après que les musiques s Essayes d’inventer une nouvelle danse muettE
Essayes de retrouver les gestes de l’enfancE Tu titilles à ton tour sa tendresse sans tourmenT
Fou de franchise, tu affiches la fleur de ta soiF Enfin, tu enlèves tes effets personnels, tu es la véritE Une liqueur suinte aux paupières alourdies. AdieU
Félicité de l’enfance, effrayante fougue inflexible du naïF Oubliés les ors des étoiles, l’opium de ton adolescence vert Lutine la demoiselle, ta limpidité coule, tel du mieL Liquide lentement tes lamentations inutiles d’épouvantaiL Existes, c’est le moment de vivre et de faire l’hommE Tu as trouvé la carte du temps, tente ton envoûtant talenT…