Alphonse était facétieux, galopin de comptoir, taquineur de Il aimait par-dessus tout distiller sa malice, épater la gal Par des croustillances crues, fulgurances en saillies, pour
Il aimait les délicieux frémissements de mâchoires, les souf Pour redécouvrir le goût doux amer de réglisse, des subtiles Des ironies bienvenues déshabillant l’ennui qui tous, nous d
Les désopilances légères achevaient ça et là, les doux récal Qui se laissaient déjà faire, les blagues étaient exquises, Il tenait son auditoire, affamé de risées, de belles turlupi
Quand un pisse-vinaigre sévère tricota des fla-flas pour fai Il sortit sa toute dernière et superbe sottise, laissant un Balbutier une pauvre histoire, tissu de billevesées, ragoût
Les fâcheux, rabat-joie, n’ont pas l’humour limpide des cont Ils ne goûtent guère la gaieté des travers quotidiens, refle Tendre est la caricature, précieux est le trait plein, pas d
Il va tellement de soi que l’on se débride sur notre triste En suçant l’hilarité soufflée par l’ange gardien qui fait un Envoie à la revoyure les mauvais plaisantins sans espoir de
Nous sommes tous de part et d’autre, Les beaux miroirs d’Alphonse nous déstabilisent, Si j’étais sérieux comme un pape, je me ferais du souci….