Je me suis perdu dans ton corps en cherchant le « Bonheur » Pantagruéliques instants d’éphémères saveurs Puis j’ai cru le trouver (sincère) dans ton regard Quel dommage…t’a cligné, sans vouloir, par hasard !
Je me suis perdu, (ailleurs), trop souvent… Dans des corps passagers, dans des plaisirs d’un instant Je voulais, sans savoir, tant le trouver Ce « Bonheur », que les mots ne peuvent pas dessiner
Puis un jour, le voilà, dans ce noble sourire Que dessinent tes lèvres dans mon souvenir… Dans ce sublime silence où tu me parle souvent Comme dans un poème, où on rit en pleurant…
Le voilà, à jamais, vivant dans mon cœur Avec ses belles épines, La Rose du Bonheur !