❮
Retour à l’accueil
de Poésie Française
Nos autres univers :
Les Grands Classiques
Espace personnel
S'inscrire
Se connecter
Adresse mail/Nom d'utilisateur
Mot de passe
Mot de passe oublié
Tous les auteurs
Poème au hasard
Vos
poèmes
Poésie Française : 1
er
site français de poésie
Tous les auteurs
Poème au hasard
Vos Poèmes
Tous les auteurs
Jacques AADLOV-DEVERS
126 - Cette seconde avec Toi
Partager
Ecrire
à l’auteur
Offrir
ce poème
Signaler
Imprimer
Jacques AADLOV-DEVERS
126 - Cette seconde avec Toi
C’était Toi, Mon Amour ?
La plus belle rêvée !
Dans ce rêve aux contours
Cauchemardesques… à peu près
C’était Toi, Mon Amour ?!
J’ai crié : Pas possible !
Tu m’as dit d’un sourire
C’est, Moi, Oui… - Incrédible !!
Ce moment incroyable
Dans lequel : « on se revoit »
L’Infini se condense
Dans la plus belle Joie
C’était Toi et moi
De nouveau réunis…
T’es sortie de nulle part
Bienveillante, si jolie
Autour, ce triste monde
Dont il n’y avait plus d’espoir
Atmosphère noire, immonde
Plus d’eau pure, à boire
Que des immeubles en fer
Des tunnels, réservoirs
Des chemins sans issues
Des ruelles, couloirs…
Vers un port sans bateau
Où étaient amarrés
Des pierres-animaux
Qui se mirent à tracter !
Tout ce monde vers nulle part…
Au bord de ces quais
Commençant à mouvoir
Ces Immeubles enfumés
Un empire en ruine
Qui perdit sa foi
Je cherchais, labyrinthe
Cette « Seconde avec Toi »
Dans ce monde d’Immeubles
Je m’étais égaré…
Je cherchais mon chemin
Vers la ville « À Jamais »
Je voulais tant y croire
Et c’était compliqué
Il n’y avait qu’une issue
Dans une porte bien cachée
Dans un mur de poussière
Et ces gens bien bizarres
Je cherchais ce chemin-porte
De tout mon Espoir
Je cherchais ma voie….
A travers des tunnels
Pleins d’eau pure, autrefois
Echafaudés jusqu’au ciel…
Que des grues levaient
Au-dessus des nuages
Que j’escaladais…
En cherchant ton visage !
Ces murs en métal
Ces immeubles rouillés
Un symbole, bien banal
De notre passé…
En grimpant et cherchant
Au-delà des nuages
Cette Seconde, cet Instant
Si vivant, doux visage !
Et maintenant je pleure
La plus pure de Joies
Cet autant cherché :
Le Bonheur ! C’était… Toi !
Car ce rêve m’est venu
Des millénaires trop tard…
La seule Porte du Bonheur :
Ton sourire, Ton regard…
C’était Toi, Mon Amour !
La plus belle rêvée !
Dans ce rêve, où, un jour
On s’est (enfin…) rencontrés !