Et oui, j’écris pour les maudits Pour les plus simples, pur Esprit Pour ce qui n’ont plus rien, rien Que la beauté d’un seul quatrain…
Pour ce qui restent seuls, autour De leur regard fixé en bas Pour ceux qui croit que leur « amour » Etait dans l’ombre qui s’en va
Et oui, j’écris pour les maudits Pour les plus simples, dont l’Esprit N’est plus qu’une Larme brillante, Voilà, Pourquoi j’écris…
Je ne sais pas ! J’écris parfois, parfois j’écris Ces mots de nulle part sortis Musique Divine qui est là Pardon ! Mon Dieux …
Tout ça… pour… « moi… » ?!
Cette Infinie seconde, beauté Pourtant je l’aurais partagé Au plus inconnu des passants Comme tes lumières au firmament Qui brillent dans nos Larmes, le soir (Faisant paraître, un bref instant)
De tout petits Cieux, sur le trottoir…
Qui marchent… souvent sans briller Pourtant ta nuit, bien étoilée Est là, présence sublime Se voit… Mais on regarde plutôt nos pas Nos rêves… Ô, quotidien oubli
Je me rappelle maintenant Pourquoi ! J’écris… Pour me rappeler,ô, que j’oublie Souvent, de regarder Vers Toi….