Les statistiques comptent Dans le grand Océan Les graines de sable… Qui brillent… dans une vague ! Oubliant ce Soleil, qui, derrière, au loin… Illumine Le Monde D’un Sourire Aimable…
Et croyant… que c’est par le plus simple Hasard Que le vent s’embrasse avec la mer le soir Que le Monde tourne dans le grand Infini – par « Hasard » Ce mot inventé, par des enfants Ahuris
Et j’ai envie de leur dire… Le sable, les vagues, le soleil, le vent Il est bien plus « probable » ( !) que ça soit… le poète Qui les fait tourner à cet instant…
Bien sur, « en moyenne », d’un calcul plus honnête C’est Dieu, derrière tout, qui vous regarde, indulgent…