L’entendez vous là quand ma bouche s’exprime Son irréelle apparence dans le son de la Rime ? Ne sentez vous pas, ce Tout vibrant, l’Infini Ses cordes où s’accordent les cors des symphonies ?
Serai-je donc tout seul, à me plaire, à me réjouir A parler aux Sphinx, à enchanter les menhirs ?! Ignorant cet asile que fait jouir les plus fous Des psychons en délire sévissant parmi nous…
Je savais qu’il y avait, Sa Vivante Lumière Qu’il en reste parmi nous, des Humains qui s’Espèrent Que vous allez en fin, ressentir, même comique Sa douceur irréelle, à son sublime cantique
L’apothéose, magique rose, grand Secret des Eons Cette pure Métamorphose, l’Infranchissable : « Eh, Non ! » Pour Voir, enfin Entendre, Ressentir, faire Renaître En vous, Tout l’Ineffable, la seule raison de l’Etre…