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Jacques AADLOV-DEVERS

La Genèse selon Jacques… ( :) Aadlov-Devers)

I
L’APPARITION DE LA MATIERE

C’est le moment de rendre hommage, aux astrophysiciens savants
Qui firent comprendre les rouages, de l’Univers, à nous, mourants…
Qui surent déchiffrer les mystères presque entiers de la machine
Qui fait tourner, étoiles et Terre, autour de la… Sagesse Divine…

Au tout de début, raconte l’histoire, au début ne fut qu’un…point !
Le plus petit et d’aucune gloire autre que… l’Unique Vivant
Il n’y avait ni Temps physique, ni Espace, tout un étang
De tranquillité du Vide, d’où le point se fit : - « Big Bang » !

Une énorme et sans forme et dans toutes les directions
Que l’imaginaire de l’Homme nomme « une immense explosion »
D’où, une fraction de seconde, ils se formèrent dans l’Infini
La matière, l’antimatière, et la pure dense énergie…

Peux après, survient la guerre, le principe de destruction :
Quand la matière – l’antimatière, jouèrent à l’annihilation
Heureusement, quelqu’un de Sage, dans sa sagesse décida :
- D’en mettre un poil plus de matière, la matière ainsi gagna !

Et tout ça, une milliseconde, ayant pur but et résultat :
- « L’apparition des l’atomes stables », les tout premiers étaient trois !
L’hydrogène, le deutérium et le hélium furent crées
Par « l’annihilation partielle », cette guerre n’aura pas tout pété !

II
GRAVITATION GALAXIES ET FUSION NUCLEAIRE

Ensuite, le Point, dans sa sagesse, inventa la Gravitation
Cette force qui fait que l’on s’adresse, aux grands avec précaution
Car elle permis de ralentir, « refroidir » la chaude expansion
Qu’au départ fit tout sortir, du Point, explosif, en question…

Et pour parfaire, vite et preste, toujours le Point qui démarra
La rotation des corps célestes, tel un manège barbe à papa !
Car apparus, moins d’une seconde, les 3 atomes avaient l’envie
De tourner vite, vite à la ronde, formant les immenses galaxies !

Ces gigantesques énormes spirales, tournant dans une même direction
Autour d’un nouveau point, trou noir, de sa nouvelle appellation
Mais la Sagesse du Point de Monde, d’où le « Big Bang » seul sorti
Était sans limite, quelque secondes, un nouvel éclat de génie…

D’une abracadabresque aisance, « localement », dans des p’tites sphères
Inventa, sans arrogance, la première fusion nucléaire !
- Ce processus qui collent ensemble quatre atomes de hydrogène
Formant l’Hélium, et l’énergie, gratos, pure et pérenne


Baptisant les petites sphère, qui grandirent petit à p’tit
Ces « étoiles », les tout premières, les grands parents de la Vie !
Car c’est ici ( !) que se formèrent, par leur entière consommation
L’oxygène et le carbone, pour la « vivante transformation »

Mais il y avait, comme un problème, car ici, les deux compères
Restaient au chaud des supernovæ, au bon milieu de leurs « mères »
Il fallut « un peu » attendre, qu’ils se répandent, dans l’Univers en expansion !
Avant qu’ils ne puissent entreprendre, « s’assembler dans la création »

III
LA NAISSANCE DU SOLEIL ET LA TERRRE

Le temps passa…tic tac, la montre, nullement encore inventée
Aura compté, pas les secondes, précis neuf milliards d’années !
Avant que le Soleil ne naisse, le Notre, le meilleur ami
Une moyenne petite étoile, qu’une « fusion locale » naquit…

Lors de cette « fusion naissance » du Soleil, une proportion
« D’éléments plus lourds s’enfuirent, échappant à l’incorporation »
Puis, ne sachant très bien que faire, solitaires et vagabonds
Dans des planètes s’agglomérèrent, qui ravies, tournèrent en rond

Voilà, notre future Planète, trop chaude et inhospitalière
Bombardé des météorites, un magma rouge sans atmosphère
Que le Point dans sa sagesse, d’une belle adresse refroidit
Lui fit soudain une atmosphère, de l’eau, un presque paradis…

Nous dit-il, en mesurant le temps, de ses outils de « précisons »
L’expert des 4 milliards d’années de cette « transformation »
Puis, pour bien finir sa phrase, où le temps en emphases est compté
Il y a, sûrement fixe 150, oui, cent cinquante millions d’années :

- Soudain, et là, sans aucune chance de trouver la fourberie
La Terre, Ô, et Grand Mystère, la Terre entière grouillait de vie !
Vie dans l’eau et vie terrestre, vie dans l’air vie, l’on a vu
Forme petite, forme gigantesque, comme « l’explosion » l’eût voulu


Puis il fallut qu’une météorite, frappe la Terre au bon moment
Pour faire taire la dantesque clique de dinosaures grognant
Ainsi faire la grande place, à ces mammifères gentils
D’où, selon l’actuelle livresque, l’homme – un jour, vaillant, sorti…



IV ECCE HOMMO

Le voilà à l’assemblage : ses 10 milliards de cellules, en bidule réunies
Avec 10 fois plus d’aimables et portables, virus et bonnes bactéries
Tous vivants, tel Symbionte, dans un beau corps, soutenus
Par qui – nous dit encor la fable- un bel « hasard » incongru ?!

Gardant dans « sa forme » humaine tel un cube dans une sphère
Par quoi ? Un champ morphique, dit la science des mystères
Par une âme, nous dissent les sages et millénaires traditions
Par « le hasard », rechigne et grogne l’athéiste fixe peloton

Ainsi, se rends à l’évidence, même le subtile le plus inculte
Que « la science », dans sa transe, à une partie qu’elle occulte
Selon sa foi…inébranlable en bégayant le même prélude
Qu’il en faudrait encor, encor, plus encor de ses « études »

Transformant bien sur la Terre, en faire « sa techvilisation »
Faire les siennes, faire la guerre, rêve le « grandiose champion»
Car en moins d’un petit siècle, au summum de son génie
Il fit éclater l’atome, « il peux tout péter », à l’envie…

Depuis une petite vingtaine, « en déchiffrant » tout le génome
L’expert s’est dit, que par lui-même, il fera « un meilleur homme »
Et changer toutes les espèces, les virus, plantes, bactéries
Hybrider la vache aux herbes, et le chat dingue à la souri !

Tel d’une boite à Pandore, en faire ressortir les chimères
Des virus à dix folles têtes, moitié vautour moitié panthère !
Retrouver leur prototype et en faire vite des clones
Faire revenir « à la vie », la grippe morte des mortes personnes…

Puis, après sa bouillonnante et infatuasse cervelle
Fusionnera à, vide sans âme, l’intelligence artificielle !

V LE SENS DE LA VIE

Oubliant, dans le tumulte de tout cet Univers lointain
Il avait un Sens, occulte, faire grandir un Vrai Humain…

Lui faire découvrir son Âme, la Bienveillance de l’Infini
Faire renaître, dans chaque Etre, une fois au moins, Sa Poésie !
Ah, lui faire enfin comprendre, et se Voir dans ce Point…
Éveiller en nous les formes du Cœur En Flammes du Géant

Pour nous rendre à l’évidence, nous, les grands brillants génies
De la Sublime Importance, d’être, tel ce Point, tout petit…
D’où le doigt de la Sagesse fit un jour comme apparaître
Du néant du grand vide, l’Âme Vivante d’Amour de L’Être !

Pour percer le Grand Mystère, d’au loin, derrière l’Infini
D’où le Point, seul sut faire, et tracer tout d’un plan précis
D’où s’il manque un décimale, la millième d’une équation :
-Tout s’écroule, plus d’étoiles, le vide de l’ante création !

Ce n’est pas faute à la Science, ne pas Voir derrière ce Point
C’est la grandiose arrogance de l’imbu petit « savant »
Qui morcelle les parcelles d’où il croit sachant « savoir »
Tristement sans l’étincelle d’une Âme Sage, à son Miroir

Ainsi, se rends à l’évidence, même le subtile le plus inculte
Que « la science », dans sa transe, à une partie qu’elle occulte
Chantant, à chaque canard qui passe, d’une solennelle platitude
Qu’il en faudrait encor et encor de l’argent pour ses… « études »

V LA SYNTHESE DE LA GENESE

En une seule phrase synthétique, en résumé et conclusion :
-Tout se fit, la science explique, par « une immense explosion » !

Pour qu’un jour puissent apparaître, ici même, sous le Ciel :
- L’Amour, les Âmes, les Poètes, et au Pole Nord…Père Noël !

Et à la fin d’une longue histoire, selon « la science » il s’accomplit
Dernier « hasard » ce jour de gloire, où Jacques nous fit sa comédie…

Et à la fin de cette histoire, tout ce travail ( !) fut accompli
Afin que Lui, Jacques, puisse asseoir, l’entière Genèse sur son ordi…