Cette monade dans laquelle on peut Mesurer ! La profondeur de l’abîme La grandeur d’une idée…
1. C’est le « Un » qui commence Lui seul, l’Absolu Dans lequel Dieu regarde Sa plus grande vertu Mesurant L’Infini (Patiemment, éperdu…) Donnant par le nombre Des nuances aux couleurs Donnant à chaque ombre Sa divine splendeur …
2. Le deux arrive quand il naît… L’Amour Que l’ « Un » ne soit plus seul Dans son unique Contour… Qu’il ne soit plus jamais triste Qu’il puisse en parler Qu’il ait un miroir Pour pouvoir s’aimer…
3. Sagement, un et deux vont s’additionner Pour créer le miracle du trois Si parfait… Car en « trois » le monde peut enfin Arriver… Naître et renaître dans un cycle sans fin En comptant les nombres Sur les doigts de la main… Pour pouvoir un jour commencer Se rêver…
4. Le quatre se forme, dans un cadre parfait Où le temps… à sa place Où la cause… est née Où le fil se coupe (parfois trop souvent…) Où le cercle ne retrouve son aire (Pour l’instant…)
La voilà, mystique, la Tétrade, est née (1+2+3+4 c’est fait…) Par le dix des dizaines de milliers (au carré) Créant la musique des Nombres parfaits Créant le monde, et toutes ces splendeurs S’additionnant dans des nuances, des idées, des couleurs
5. Et le cinq – est là comme un unique miroir Où le monde se regarde Dans ses rêves, le soir… Cinq encore c’est un nombre divin et parfait Avec lui commence, tout ce qui se sait… Il se coupe par le quatre Dans un nombre en or… Pentagramme, ce cinq, cache bien son trésor
Deux fois trois ce six Puis le sept triomphant De toute sa magie… Evoquée si souvent Deux fois quatre le huit Vertical infini… Puis arrive le neuf Au carré trois et si On regarde plus loin En additionnant On retrouve à la fin La Tétrade, seule comptant…
Pourtant « Tout est Un », Ce petit nombre ignoré D’où tout commence Le seul nombre caché… Que chaque "un" doit trouver Dans son unique (ailleurs...)