J’ai voulu m’abeausir d’une mouture ancienne Il soufflait du nord ce froid aquilon Blanchoyant d’une neige aux allures souterraines Mon visage azurait d’un ancien Céladon
Incarnadin, salébreux me feuillir dans la vigne De l’ardeur rubiconde jaillissant de ton cœur Astré d’un temps où l’amour faisait signes Vastité, évantant mes moments des bonheur
J’ai voulu m’abeausir d’une mouture ancienne Que je te reste incompris, j’ai eu moult peur…